La vie a parfois un goût de ristretto

L.Vivarès- La vie a parfois un goût de ristretto


Collection  Pop'littérature
11 octobre 2018

Lucie, styliste parisienne, revient seule, sur les lieux où son histoire d'amour s'est échouée pour essayer de comprendre, de se confronter à son chagrin, de recoloriser ses souvenirs, et peut-être de guérir. Ce voyage intérieur et extérieur la conduit à Venise, trouble et mystérieuse en novembre, pendant la période de Vacqua alta. Au rythme d'une douce errance, Lucie vit trois jours intenses, sous le charme nostalgique de la ville. En compagnie de Vénitiens qui croiseront providentiellement sa route, un architecte et sa soeur, une aveugle, un photographe, elle ouvre une nouvelle page de son histoire.

"Chaque millimètre de sa peau était sensible. Dans la lumière voilée, toute les couleurs de cette journée de novembre à Venise se déployaient, flatteuse et reposantes. Le contraire du noir ce n'était pas le blanc, mais bien la couleur. C'était simple, mais elle ne le découvrait que maintenant."

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